sábado, 25 de diciembre de 2010

Salar de Uyuni

Le sel, ca peut servir à construir des maisons. Les lignes qu'on voit c'est l'alternance des saisons: il y a celle des pluies, et celle des vents, quand se forme cette couche "sale".
 
Le sel, ça peut être une plage agréable, et tant d'autres...


Si vous avez vu les Pirates des Caraïbes 3, vous savez plus à quoi ressemble un salar. C'est aussi sur un salar que la voiture la plus rapide du monde a battu le record.
Malheureuseument, les deux sont à Bonneville Salt Flats, aux US, et non pas ici en Bolivie.
Mais peu importe. C'est un endroit fou! A perte de vue, du sel, du sel, du sel. Et parfaitement plat!

Bon on n'a pas eu de bol: notre guide était nul. Il n'arrêtait pas de dire des conneries, comme "voici devant nous la plus haute montagne de la région. Elle fait 8000m d'altitude!"
Alors qu'on le sait bien, la plus haute montagne de toute la Bolivie est le "Sajama" (6542m).
Aussi à noter si vous comptez venir une fois à Uyuni: préparez-vous à faire beaucoup de temps de voiture!

Potosí

On était un peu tristes de quitter Sucre. Prochaine etape: Potosí, la ville la plus haute du monde, avec 4060m d'altitude, et surtout la montagne du Cerro Rico, les mines d'argent. Les tunnels ont parfois plus de 400ans :)
Aurjourd'hui encore elles sont exploitees. L'esperance de vie des mineurs est de 50-55ans. Neanmoins ils sont nombreux; la region n'a pas d'autre richesse. On a fait un tour dans les mines avec un guide fou qui nous a fait une demonstration d'explosion de nitroglycerine (ouch les oreilles).

Aventure a Sucre

Sica Sica, la foret, abrite une paroi super pour grimper!











Et voici, pour l'anni de Jonas, notre bapteme de parapente.

lunes, 13 de diciembre de 2010

Trekking alrededor de Sucre


A travers un paysage changeant et des villages étalés sur de longues distances, on a pu découvrir les montagnes boliviennes, marcher sur le côté d'une plaque tectonique (waw!), observer des dessins préhistoriques (ici un singe, même s'ils n'existaient pas dans la région) et des traces de dinosaures (nous deux dans des traces de probablement un vélociraptor). D'ailleurs, les boliviens croyaient que leurs grands-grands-grands-...-grands-parents avaient 3 doigts et étaient très grands :D
Ensuite, pour continuer dans les mystères géologiques, le crater de Maragua! La théorie actuelle pour sa formation est qu'un astéroïde géant s'est écrasé là.

 

domingo, 12 de diciembre de 2010

Sucre

 
Retour au présent. Petit aperÇu de la ville de Sucre, où on est maintenant. Voici les textiles traditionaux dont on parlait (celui-ci est d'une tribu jalqu'a).
 



Les Boliviens ont des textiles traditionnels très bien faits, très intéressants. Mais aujourd'hui, ils se sont adaptés au mode de vie américain. Le Jésus d'ici est très pudique, et il a préféré se couvrir (la robe lui a donc été offerte par la gay pride).
Pour mégrir, les Boliviens se sont dit qu'il était bien de se déguiser en Martiens de "Mars Attacks".

El tren de la muerte

Le "train de la mort", qui nous emmène de la frontière du Brésil à Santa Cruz de la Sierra. Le voyage était génial! (malgré sa durée de 21h) Le train nous secouait de droite à gauche, il se penchait vraiment beaucoup! Et puis les mamitas montaient à chaque arrêt pour vendre à manger, et puis crier mango mango dans les couloirs.

En route vers la Bolivie



Nos derniers instants au Brésil. On se demande à quoi va ressembler le nouveau monde. En tout cas, on se réjouit de pouvoir se mettre à parler espagnol (plus de "aum", "ou", "ch" à la fin de tous les mots).
Précision: le gecko est bien vivant. Il fait juste une démonstration de yoga.

Rivières du Mato Grosso do Sul

En haut, la dernière photo du Pantanal. La rivière contraste beaucoup avec celles de la région de Bonito (à 5-7h de là), et ses rivières bleues pleines de gros poissons.On n'est pas restés longtemps dû au coût impressionant des tours. Malgré tout, c'est un endroit incroyable.


Pantanal

Le Pantanal est une région plus ou moins de la même taille que la France à l'ouest du Brézil. Comme c'est une zone marécageuse (complètement innondée chaque année pendant 2 mois), les arbres qui y poussent sont beaucoup moins denses que dans la forêt tropicale. Du coup il est beaucoup plus facile de se déplacer et d'apercevoir les animaux.

Incroyable! On en a vu plus que dans un zoo! Des oiseaux dans tous les sens (perroquets, toucans, aigles, martins pêcheurs, petits hiboux...), des caïmans, des loutres, des fourmiliers, des igouanes, des tatous ("armadilos"), des piranhas, des capibaras (cochons d'inde géants!!), des singes hurlants, des tarantules,  même quelques humains! (hem)

Notre guide s'appelait Marcelo. Heureusement il nous a averti et nous a dit de ne pas nous baigner... la rivière juste derrière notre "maison"-sur-pilliers était remplie de caïmans! On est allé pêcher un jour, et la rivière est si pleine de piranhas qu'on sentait la canne tirer à la seconde où l'apas (un gros morceau de viande) rentrait dans l'eau.




Formiga (fourmi) dans le Minas Gerais

 
 
Après avoir quitté la côte de Bahia, on s'est mis à traverser le Brésil, et on est arrivés à Formiga aprês 27h de bus. 
A Formiga on a rencontré l'oncle de Flo: Stephen, et sa femme, Marjorie. Ces photos viennent de la ferme des grands-parents de Marjorie. La plupart des habitants n'avaient jamais vu des européens, alors on était comme des stars. Ils nous ont posé plein de questions, dont la fameuse: ¿c'est quoi la religion en Suisse?
Le truc que Flo machouille c'est de la canne à sucre, fraîchement arrachée.

Itacaré

Voici Itacaré, une petite ville préservée au bord de la mer.

C'est sur cette plage qu'on a appris les bases de la capoeira. Le gourou local de la capoeira, "Jamaica", nous a invités à une semaine entière de cours gratuits.
Le Jungle Bar accueille tous les mercredis et vendredis soir la troupe de capoeiristes avec leurs instruments étranges.


Tout au long de la semaine, on a aussi suivi des cours de surf. Chaque jour, matin surf, après-midi capoeira. Le rève! Et on profite (c'est notre dernier arrêt au bord de la mer)!

Chapada Dimantina

Donc on les a écoutés!


Nous voilà à la Chapada. Ces collines étaient remplies de diamants, et ont été minées jusqu'à la dernière pierre. Maintenant c'est une réserve naturelle, riche de ses cascades, de ses oiseaux et de son isolement du reste du monde. Les bassins sont rouges, ou jaunes, et même parfois noirs. Ça fait peur de regarder sous l'eau. Ça plonge dans l'obscurité. 

 

Salvador, Centro Cultural. En cherchant l'endroit le moins cher possible, on s'est retrouvés avec des artisants. Voilà un chilien fabriquant de bracelets. (c'est leur moyen de gagner de l'argent pour voyager)
Ils nous ont parlé d'une réserve, la Chapada Dimantina, qui est censé être un lieu magique, à quelques heures de bus de là.

Départ!

18 Septembre, le train nous emmène
nuit du 19, étalés dans l'aéroport de Frankfurt, avec d'autres zombies
20 Septembre, dans l'avion, Jonas écrit pour la première fois

Grand opening

Ça fait bientôt 3 mois qu'on attérri à Salvador de Bahia. Depuis on a traversé le Brésil et passé la frontière bolivienne, et nous voilà, un dimanche, à Sucre.
On vous a envoyé quelque(s) email(s) pour vous tenir à jour, mais maintenant avec ce blog on pourra vous montrer plus de photos :)
On va commencer avec un résumé-photo type diaporama ennuyeux des derniers mois.